Belial Cala

NOM , prénom : CALA Bélial

Age : 23ans

Race : Lycanthrope natif

Description physique et vestimentaire : Si vous me voyez pour la première fois, je vous conseil de commencer par regarder ailleurs. Mes yeux font peur et provoque des frissons. Ils sont bleu très claires, voir parfois blanc, mais au centre, comme un cercle de feux d'or qui à tendantce à provoquer un vif mouvement de recule. De plus ceux-ci ressorte assez fortement sur ma peau mat. Mes cheveux sont noir, mais j'ai déjà prématurement, des méches blanches et argent. Je dois faire dans les 1m70, mais je n'ai pas une carrure très impressionnante, pour le reste du corps il parait que je suis joli, voir sexy, mais comme les hommes que j'ai cotoyé ne sont pas vraiment "normaux" non plus...
Je m'habille généralement en noir. J'essaye peut être inconsciement de passé inaperçue, mais sa n'a jamais marché. J'arrête tout vos rêves tout de suite ! Rien de moulant, ou de trop court ! Vous me verrez le plus souvent en pull à col roulé, pantalon et botte. Sauf quelque jours par mois...

Description morale : Je n'ai jamais eu un caractère de meneuse, ni de Rebelle, j'ai toujours chercher à me fondre dans la masse, mais m'ont infirmité m'a fait comprendre que je n'atteindrais jamais se but. J'ai plutôt tendance à être introvertie, renfermé sur moi même. Se qui fait que parfois je suis égoïste, làche et hypocrite. Mais y suffit parfois de peu de chose pour que je me retrouve à tenter tout se que je peux pour aider un ami et le rendre heureux. Il paraît que j'ai une patience d'ange et que je sais écouté. Je sens parfois en moi, surtout quand approche la pleine lune, un loup. Bien plus mauvais que moi. J'aime à penser que c'est lui qui me controle quand je suis transformé... et parfois quand je ne le suis pas. .. Et parfois j'aimerais penser que cette autre présence soulagerais ma conscience, mais je n'ai pour l'instant pas encore réussi...

Histoire : Je suis née maudite. Sa résume bien ma vie. D'un grand-père mort jeune, j'ai hérité de ma maladie de lycanthrope. Mes parents n'était pas au courant de cette infirmité et ils n'ont pris aucune précaution pour ma naissance. Je suis née un jour de pleine lune et dans le ventre de ma mère, pour la première fois le loup en moi à prit vie et appelé par mon plus bas instinct : La faim. J'ai mangé le ventre de ma mère de l'intérieur. Elle est morte d'une hemorragie interne.
Mon père à vu le monstre que j'étais et ma affublé d'un nom de démon : Bélial, celui qui est sans maître, l'indépendant et indépendante j'ai été, mon père me craignant, ma laisser à la porte d'une église. Le prêtre qui y vivait, me garda avec lui. Il s'occupa bien de moi, me nourrissant spirituellement avec les écrits biblique, mais aussi en m'enseignant les lettres et les sciences et me nourrissant au sens propre en chassant les bêtes d'un bois proche pour rassasier ma faim lors des transformation. Il me baptisa Umabel, ange du détachement, qui provoque réconfort lors des peines.
Je voulu passer le reste de ma vie à prier Dieu, car étant maudite par naissance, je n'avais pas d'autre choix pour demander mon salut une fois passer dans l'autre monde. Mais une nuit, proche de la pleine lune, ou il pleuvait à corde, un homme désorienté rentra dans l'église, je ne l'avait jamais vu mais son odeur ressemblant quelque peu à les miennes. Quand il me vit, il hurla, m'insulta parce que je n'était pas morte, pensant qu'un homme de foi, par respect pour l'humanité, ferrait se que lui n'avait pas pus : me tuer. Je ne compris pas grand chose à ces paroles. Mais il était décider à réparé cette "erreur", quand il voulu m'attaquer à l'aide d'une statue, il frappa par mégarde, le prêtre, effrayé par tout le sang qui coula, il prit la fuite. Après mettre assuré que la blessure était bénnine et malgré les injonctions de rester du curé je sortit dehors. Mes sens exarcerbé par la pluie et la colère, je n'eu aucun mal à reconnaître son odeur qui m'était familère, mon géniteur, ne cessa pas de m'insulta et me cria comment par le meurtre que j'avais commis j'était venu au monde. Il me hurla que le gout du sang était sur mes lèvres et que se n'était pas des paroles divines qui le ferrait partir. Ensuite, il ne dit plus rien que je le tua. Je mangea avec avidité son coeur, apreciant pour la première fois le goût de ma propre chaires.
Quand je voulu rentrer à l'Eglise, le saint homme était devant celle-ci. Il m'expliqua que j'étais une femme-Loup et que malgré tout l'amour qu'il me portait, il avait compris qu'il ne pourrait jamais changer se que j'étais vraiment, mais qu'il avait fait se qu'il avait pus pour me garder humaine, mais que je devais partir, le meutre que j'avais commis cette nuit ne me permettait plus d'entrer dans son Eglise, les mains sanglantes ni de rester ici. Sans aucune affaire, je partit alors dans la nuit.
Il se passa des années après cette évenement. Je garda mon nom de baptisé pour moi seul, plus aucune prière ne franchit mes lèvres et je ne mis plus les pieds dans une Eglise. Je pense que ma partie loup, pris progressivement le pas sur la partie rationnelle, il vint une époque où je me transformait tout les soirs en lycan pour faire se que je pensait être le mieux.
Je pense qu'ensuite ma colère se calma, je devint presque social et je ne faisait presque plus de "sortie après la tombé du soleil". Je m'étais assagis et je décida de monter en ville. Hélas j'y appris tout les sens du mot "différente", de par la couleur de mes yeux et de mes cheveux, je ne trouva pas de logement ni de travail et je fus quasiment mis au banc de la société. Mais je continuais à tué, peu être trop pour faire passer pour de la simple "faim". Je fus repéré par un groupe de policier spéciaux et mis en cage avec d'autre cas comme moi. C'est là où je fis la rencontre d'un mutant dont je terrais le nom, qui, par ces pouvoirs d'empathe me permis de calmer totalement la partie trop chaotique de moi même. Se fut grâce à lui, une fois sortie que je rencontra mon clan, étonnement, la première mission que l'on me confia fut dans mon village natal.
Je ne dirais pas que je n'avais pas quelque apréhension, mais j'avais beaucoup changé et un paire de lunette de soleil, me permis de passer complètement inaperçu, je retourna alors à l'Eglise. Le prêtre y travaillais toujours et j'écouta du fond de la nef l'une de ces messes, mais lui aussi avait changé, apparement les conflits de la ville avait réussi à venir jusqu'ici. Quelque jours plus tard, l'homme que je traquais, réussi à me filer entre les pattes et à fuir dans l'église. Je lui filais une sacré trouille et il avait la gachette facile, il tirait sur tout se qui bougeait, malheureusement se ne fut pas moi qui bougea, mais je réussi enfin à le maîtriser et par vengeance à le tuer. Puis j'alla auprès du révérend, il c'était reçu la balle en plein coeur, je compris que cette fois il ne pourrait pas s'en sortir. Je pria alors pour lui, pour se qu'il avait fait pour moi et pour les autres et que s'il me restait des chances d'avoir le salut divin, qu'il lui soit donné pour que les portes du paradis lui soit grandes ouvertes. L'homme de fois se releva alors, mais il me montra alors sa véritable identité car deux ailes apparurent dans son dos et il monta au ciel. Avant de sortir je me lava les mains avec de l'eau bénite, plus pour laver mon esprit que mes mains.
Quand je remonta vers la ville, j'avais fait la paix avec moi même. J'avais compris que les portes du paradis m'était à jamais refusé, mais que pourtant je pouvais essayé de le trouvé ici sur terre, c'est se que je pensa quand mon dîner remua et hurla avant que je lui tranche la gorge...

Don : Zoomorphe et instinct du chasseur.

Armes : Une chaînes (pas en argent) que j'enduis tout les soirs d'huile et qui peut s'enflamer une fois par nuit (sa fait TRES mal ) ainsi qu'un 9mm et deux recharges.

Clan : Chiens de Guerre (Waoouuuu !) Non c'est pas drôle...