Akecheta-Ohando

iki'cize
waon'kon
wana'
hena'la yelo'
iyo'tiye kiya'
waon'
Sitting Bull

Tout ce qui arrive à la Terre, arrive aux fils de la Terre. Ce n'est pas l'homme qui a tissé la trame de la vie: il en est seulement un fil. Tout ce qu'il fait à la terre, il le fait à lui-même. Chef Seattle, tribu des Suquamish, 1854.

Prénom : Akecheta-Ohando (Combattant en colère)

Race : Vampire

Arme : Quatres hachettes ainsi qu’un arc et un carquois de flèches

Don : Habile avec des hachettes de lancé et des arcs…

Particularité : Agé de plusieurs siècles, il n’a donc pas besoin de beaucoup de sang pour survivre.

Clan : Fait partie des chiens de guerres depuis quelques années déjà…

Aspect :

Agé d’environ de trente ans à sa mort, Akecheta-Ohando est plutôt de haute stature, faisant environ un mètre quatre vingt, il domine par sa dimension, beaucoup d’autre homme. De plus, il est musclé de par son origine guerrière Huronne et cet atout n’ais pourtant pas compensé, par une faiblesse d’esprit. Ses yeux, tristes et haineux sont d’une couleur marrons foncé, presque noir. Ces sourcils broussailleux n’y ajoutent aucune finesse, quasi constamment froncé, il n'additionne dans le regard qu’une palpable amertume. Sa bouche aux allures colériques s’allie parfaitement avec son faciès ovale aux couleurs tièdes qui lui permet, malgré lui, de camoufler son état vampirique aux yeux des humains. Une large cicatrice faisant environ cinq centimètres de long découpe une de ses joues en une sorte d’embellissement, il aime à la montrer avec fierté, démontrant ainsi à la face de certains hommes, sa sagesse, son instinct guerrier. Ses cheveux aux éclats de jais sont rasés sur le devant, dégageant ainsi le front, en conséquence, sa longue chevelure ne pousse que sur le milieu et le derrière de son crane. Elle est souvent ornée de plume d’oiseau ou bien de toute sorte de parures aux origines naturelles. Ses oreilles sont percées et décorées de magnifique parure de métal précieux…Son physique n’est pas vraiment encourageant pour les gens qu’il rencontre, d’ailleurs il préfère se cacher de la population humaine pour ne pas avoir d’ennuie. Ses mains sont marquées par d’âpres combats, par des années d’entraînement à l’arc et à la hache quand il était encore humain, l’état vampirique n’a fait que mieux distinguer les rides qui les éprennent. Ses bras et son torse sont bien sculpté ajoutant de la beauté à son aspect sévère, cela lui attribue une physionomie étrange, mais il ne peut rien y faire. Quand il se remarque, il porte le plus souvent un jean usé, agrémenter le plus souvent d’un T-Shirt aux couleurs sombres. Seul son faciès est rester parfaitement intemporel, il ne peut le changer, il est un vampire et jamais ses cheveux rasés ne repousserons, jamais son physique ne changera, ses origines indiennes apparaîtrons toujours, a quiconque le verra. Il peut changer d’habit, mais rien ne le modifiera intégralement…

Morale :

Quelque qu’en soit le prix, la mort viendra à celui qui sait attendre le moment venu.

Akecheta-Ohando est un guerrier Huron et en sera toujours un jusqu’à ce qu’il disparaisse dans le néant. Quand il se bat contre ses ennemis, il est sans pitié et a d’ailleurs, encore la fâcheuse habitude de scalpé ses victimes, ce qui par le passé lui attira parfois des ennuis. Il est extrêmement rancunier, sa vengeance est souvent incontrôlée et terriblement destructrice car si quelqu’un fait du mal à lui ou à une de ses connaissances, il rentre dans une transe presque animale dont jamais aucuns de ses ennemis ne sont sortit vivant. S’il n’arrive pas tuer son adversaire il ressayera jusqu’à ce que la mort vienne sonner à sa porte. Il prend souvent les choses à cœur ainsi, quand il donne sa parole, c’est un rituel qui jamais, ne sera bafouer. C’est un guerrier plein d’honneur qui n’hésitera pourtant pas, à faire du mal à des enfants ou à des femmes pour trouver ce qu’il cherche, pour trouver sa cible. Akecheta-Ohando a de nombreuses époques embrassées de mouvement révolutionnaire dans toute sorte de pays, comme si, combattre l’ordre établi lui permettait de mieux se confondre dans la masse humaine. Il fut cité à plusieurs reprise dans certaine guerre, cependant il y a effacé son empreinte pour qu’on ne le reconnaisse pas en tant que vampire. En faîte il aime se vendre au plus offrant mais quand il fait une tâche spéciale, il ne l’arrêtera jamais et ce, même si sa proie lui offre plus d’argent que son employeur. Une fois, qu’il a fait une promesse, il est absolument sur, qu’il la tiendra. Cependant il est avare de ce genre de chose car il sait très bien que l’on peux ainsi, profiter de lui. Il est méfiant avec les gens qui n’appartiennent à son peuple mais peut se montrer gentil s’il juge la vision de son interlocuteur juste. L’age lui a apporté une immense sagesse, ainsi il parle souvent par sous-entendus et dans des dialectes inconnus comme s’il n’avait pas conscience de son interlocuteur.. Toutefois, il aime à garder les coutumes de son peuple de l’époque ou il est né, ainsi il se sent bien mieux dans sa peau de vampire. Il n’est pas très orgueilleux et le minimum de survie lui suffit souvent amplement. Avec ces victimes il est souvent cruel, presque trop d’ailleurs, aimant torturé ses proies avant de les tuer.

Historique :

Extraits de « Ecrits De La Nuit » James Welson.1998

Biographie éphémère : Histoire d’un fils Huron…

Les quelques écrits découverts au fil des siècles témoignent de l’histoire de cet indien vampire, nous n’en avons que quelques pages étant données que le temps à fait son effet. Cependant, elle démontre l’existence des vampires comme nous les concevons, nous, humains.

Ans 1650, la guerre est terminée, nous avons perdu…Les Hurons doivent quitter leur terre natale et se disperser…

Moi, Akecheta-Ohando n’est plus ce qu’il était. Autrefois grand guerrier Huron, tueur d’Iroquois, je fut métamorphosé par un terrible prédateur, avide de sang. Les sages de ma grande tribu n’ont put rien faire, et ils m’exilèrent pour que le démon que j’étais devenue disparaisse à jamais de leur terre. Qu’elle ironie ! J’ais fait gagner tant de bataille, je me suis battue jusqu’à la mort pour mon peuple et aujourd’hui on ne me nomme même plus, de peur d’invoquer le monstre qui me possède. Ah ! Si seulement j’avais été là pour empêcher mes frères de se faire massacrer par ces chiens d’Iroquois…Mais je suis un monstre, je dois me nourrir de sang pour survivre, je n’en puis plus…Chaque soir je dois tuer pour me préserver, tuer et tuer encore. Cependant, cette mort à de nombreux bénéfices, je peux maintenant me mouvoir plus facilement et mes sens n’ont jamais été aussi prompts à me servir. Et le goût du sang, quel délice et pourtant cet acte immonde me rend sont dut par milles remords. Non, je n’ais pas eut le courage de mourir et ce, bien que l’envie ne me paraisse chaque jour de plus en plus forte. J’essaye pourtant de m’en remettre en ne tuant que ces ignobles iroquois ou ces pesteux hommes blancs, ils ne sont rien pour moi, ils n’ont fait qu’amener le malheur et la souffrance dans nos cœurs.
Aiyana…Aiyana, ma femme ne m’a pas suivit dans mon exil, elle a maintenant peur de moi, peur de mon aspect maléfique. C’est ce qui rendent ma vie de plus en plus difficile, le souvenir de mon père me châtiant de notre peuple, le souvenir de ma femme me regardant avec mélancolie, la parole des anciens, âpre et ambré d’effroi. Chaque jour, quand je me couche en creusant dans le sol, je me rappelle tout ce que j’ai perdu quand il ma transformé. Je ne crois pas que le temps puisse effacer cette mémoire, et ce, même si je dois vivre jusqu’à la fin des temps…
Ohodamaya1 à celui qui lira ces quelques paroles…
Akecheta-Ohando fils Huron à jamais…

1Respect

Ans 1845, déjà si longtemps que je parcoure le monde à la recherche d’un passé révolu. Chaque membre de mon ancienne tribu que je connaissais est mort, le temps à fait son effet et pourtant je vis encore, moi, Akecheta-Ohando. Je suis allé en Europe et j’en suis revenu, là bas, ils nous traitent comme des sous-hommes, des païens1 comme ils disent si bien, nous, le peuple indien. C’est inconcevable et pourtant cela se passe comme ceci. J’ai visité les capitales des plus grands pays, Paris, Berlin, Londres, rien n’est naturel, ce n’est pas de la beauté, s’en est, une simple caricature. J’ai apprit leurs langages avec la plus grande attention, la plus infime pudeur, ainsi je sais l’utiliser ; j’y ais aussi découvert des membres de ma race, ils s’appellent vampire1, c’est un nom étrange mais qui n’est pas vraiment approprié, en tout cas, cela fait bien trop romantique1 à mon goût. Aiyana tu me manque terriblement, j’aimerais te serrer une dernière fois dans mes bras, mais malheureusement je sais que tu es partie, il y a déjà trop d’années. Cela fait deux ans que je suis revenu sur ma terre natale, tout à changer, le monde à changer. Ils construisent d’immenses villes et notre peuple subit l’asservissement. Par malheur, je ne puis intervenir, je ne fais plus partit du monde des mortels dorénavant ainsi, même si, ma sagesse pourrait les éclairer, ils devront se débrouiller sans moi.
Ohodamaya à celui qui lira ces quelques paroles…
Akecheta-Ohando fils Huron à jamais…

1En français dans le texte originel…

Ans 1989, déjà trop de temps que je subsiste, trop de temps que je désespère de la voie que suit la race humaine. J’ai vu la guerre ou plutôt, les guerres de mes propres yeux, j’ai vu les hommes massacrés d’autres hommes parce que leurs croyances étaient différentes. Cela me rappelle les affrontements futiles de l’époque qui m’a vus naître, mais qu’importe, ce temps est révolu à jamais. Aujourd’hui leurs sociétés semblent basé sur l’exploitation d’hommes et de femmes qui n’avaient jamais rien demandé. Je ne comprends pas vraiment ce qu’il leur passe par la tête pour faire ceci, mais de toute façon je ne puis me permettre de juger quelques choses à laquelle je n’appartiens pas. J’ai vu plusieurs de mes confrères s’élever dans la sphère humaine et mourir quelques années plus tard, ainsi je ne préfère pas vivre comme un mortel, de plus, en finalité cela ne sert pas à grand chose. Depuis vingt ans, je me suis exilé dans les forêts en ermite pour comprendre la nature, ainsi, ma sagesse en est sortit gagnante…Bientôt je repartirais vers l’Europe et transformerait peut être pour la première fois de ma vie, un humain en aberration de la nature…Qui sait, moi, fils Huron à jamais ?
Ohodamaya à celui qui lira ces quelques paroles. Je suis un Indien à jamais.
Akecheta-Ohando, vampire utopiste1

1En français dans le texte originel…

(Voila mon deuxième perso^^...
on sait jamais, il se pourrait que Margot passe de vie à trépas rapidement...)

Citation :

Don : Habile avec des hachettes et des arcs…

Ca fait double don

bah c'est pas des haches; c'est des hachette de lancer... Donc après, le don je peut mettre "Habile avec les armes de jets moyennageuses"?

Vu que c'est des hachettes de lancer... Aucuns problèmes

Ah non, combien de hachettes tu as? :p

Bah quatre...après ça me parait trop encombrant...

Validé