Nom : Weltnihil
Prénom : Léo
Age : 20
Race : Lycan
Description physique et vestimentaire :
Léo est un jeune homme de 18 ans, enfin en apparence, bien bâtit pour son age, il fait 1m70 pour 65 kilos ce qui lui donne une apparence frêle, mais lorsque celui est torse nue, on peut dire ou plutôt confirmé que les apparences sont parfois trompeuses. Pour être plus clair, le jeune Weltnihil n’a ni trop de muscle ni pas assez. On pourrait dire que sa silhouette est athlétique.
Ensuite pour ce qui est de ses goûts vestimentaires, il varie entre blanc et noir mais reste le plus souvent en bleu. Le vampire s’habille de façon simple, un pantalon en Jean large, un T-shirt bleu nuit 3/4, un collier a pic noire foncé autour du cou le tout surmonté d’un manteau en cuir long , qu’il porte quasiment tout le temps.
Il a le visage fin et bien cerné, bref un vrai visage d’ange mais celui-ci est aussi androgyne, de loin on pourrait le prendre pour une fille. Ses cheveux longs d’un roux étincelants virent parfois au blanc à cause des reflets du soleil, ceux-ci contraste bien avec la couleur de sa peau. Ses yeux sont d’une couleur sombre, qui montre une certaine mélancolie.
Description mentale :
Dans sa jeunesse, Léo était survolté, une vrai pile électrique, bagarreur, toujours entrain de bouger et cela même pendant les temps où il était calme. Mais le jeune Weltnihil avait déjà de l’ambition, il voulait montrer qu’il était le plus fort bref un vrai petit « Tyran ».
Mais au fil des années, Léo devint plus sage, cette sagesse était venue au cours des différentes épreuves qu’il eut a passer, il apprit que courir ne servait a rien et qu’il fallait mieux marcher a point afin de mettre toute les chances de son coté. La précipitation n’engendre rien de bon au contraire elle pouvait le mettre en danger.
Léo a un regard triste sur le monde, il ne cherche rien et n’attends rien de personne… Une dernière chose… : Le fait de voir les gens souffrir, le tranquillise, l’apaise. Léo à l’impression que plus, il fait de mal autour de lui, plus sa vie sera sereine et sans obstacle. Lorsque celui ci n'a pas sa dose de souffrance dans la journée, des lors, il ressent une douleur imaginaire, très violente au niveau du cerveau. Elle est caractérisée par des hurlements, ses muscles se convulsent et se cambre dans tout les sens. Ses crises se manifestent souvent le jour pendant son sommeil.
Histoire :
Léo, seul dans l’illustre demeure abandonnée, était tranquillement allongé sur le divan de couleur rouge pourpre, repensant au journal qu’il avait acheté, il y a déjà quelques mois. Mais que pouvait il marqué , il n'avait jamais été un grand écrivain... Il le sortit et commença à écrire quelques lignes...
"Mon Nom est Léo Weltnihil, dés mon plus jeune âge, je savais ce que qui m’attendais lorsque j’aurais l’âge de travailler... A l’âge de mes 12 ans, je travaillais dans une lingerie, mes parents le voulaient absolument. Lorsque le destin nous contraint à certaines choses, on ne peut y échapper... Quatre ans plus tard, je gouttais pour la première fois au plaisir de la chair... Cela a toujours été quelques chose qui m’attirais par le passé (beaucoup moins maintenant, quoi que ...). Toutes les aventures que j’ai pu avoir été purement sexuelles, enfin pour moi... Bref j’étais une sorte de Dom Juan..."
Léo s’arrêta d’écrire, se posa au fond du divan et jeta de toutes ses forces le carnet par la fenêtre…. Afin de chasser ses idées de sa tête, il décida d’aller faire une promenade à la nuit tombée. Arrivé sur la place, il se mêla a la foule...
*Ils ne connaissent rien de notre existence, une existence que je déteste mais que l’on m’a imposée et à laquelle je n’ai pu échapper... Condamné à vivre et à se nourrir d’hommes pour l’éternité... Autrefois, car il me semble qu il y a plutôt des années, j’étais comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde avaient son idée. Mon esprit jeune et riche était plein de fantaisie. Il s'amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, bordant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie. C'était des jeunes filles, des théâtres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. C’était toujours la fête dans mon imagination. Je pouvais penser à ce que je voulais, j’étais libre... Jusqu’à ce jour, par une nuit brumeuse et enneigée de février, alors que je me promenais dans les rues à la recherche de quelques filles de joie qui auraient pu assouvir ma soif de désir charnel, j’aperçus une jeune femme.
La démarche souple et hypnotique, elle dégageait une sensualité peu commune, ses formes étaient généreuses mais cependant sa silhouette restait athlétique. Elle ne sembla pas remarquer que je m’étais arrêté, comme pétrifié par sa beauté. Mon regard ne pouvait se détacher de cette femme. Elle ne fit même pas attention à moi, je voulais savoir qui était cette jeune femme qui me fascinait, l'approcher, faire connaissance. Apres quelques secondes d’hésitation, je décidais de lui emboîter le pas. Elle marchait relativement vite, et j'eu peur de la perdre. Je n'osais pas l’interpeller craignant de l’effrayer et j’accélérais le pas. Apres quelques minutes, elle tourna dans une ruelle sombre… Nous nous trouvions dans les quartier mal famés et j'eu à peine le temps de me demander pourquoi elle fréquentait ces lieux que je ne me rendis même pas compte qu’elle avait disparu. Etonné, je commençais à scruter la pénombre et des traces de pas dans la neige, stupéfait je n’en vis aucune devant moi. Perplexe, je restait là à réfléchir à la façon dont elle avait pu se volatiliser. Je ne pensais pas m’être trompé de ruelle. Plongé dans mes pensées, je n’entendis rien venir… Je me retrouvais projeté contre le mur. Quelqu'un me maintenait face à ce dernier. Je me débattis mais sans grand succès. Mon agresseur relâcha quelque peu son étreinte, et ce que je crus être une faiblesse n’était qu’un moment de répit. L inconnu ma plaqua de nouveau au mur. Les pierres froides et irrégulières me meurtrissaient le dos. Lorsque je relevais la tête, je reconnus avec surprise la jeune femme que j’avais suivie. Elle portait toujours une capuche qui cachait une partie de son visage, mais pouvait distinguer son regard dans la pénombre. Un regard intense et mystérieux qui me troubla tout autant que la force peu commune qu’elle développait. Je n’aurais jamais cru une jeune fille capable de démontrer une telle capacité à se défendre voire à se battre…
Elle me demanda d’une voix grave, à la fois sèche et suave…
« Pourquoi me suivez vous, monsieur ? »
Réfléchissant rapidement à la réponse que je pourrais fournir, je commençais à parler d'une voix qui paraissait faible par rapport à la sienne.
« Eh bien chère demoiselle, je suis étonné de voir qu’une aussi jolie personne que vous se promène dans ces bas quartier.. »
Elle me répondit, cette fois avec une pointe d’ironie.
« Sachez, monsieur, que vos intentions me touchent et seraient tout à fait louables si elles étaient sincères…N’ayez aucune inquiétude, je ne vous prends pas pour un bandit, votre façon d'agir reflète en tous point celle d’un jeune gentleman, et de bonne famille, je dirais… »
Nous continuâmes de discourir ainsi, moi le dos au mur et elle tout contre moi. Elle avait relâché la pression qui m’empêchait de bouger mais se tenait toujours très proche… Au fur et à mesure de notre conversation je tombais sous son charme et la proximité de son corps superbe éveillait en moi des envies peu contrôlables. Sa façon d’être et son assurance m’encouragèrent à me montrer audacieux et sans plus songer à ma soi-disant attitude de gentleman, je la pris soudainement par la taille et l’embrassais langoureusement j’avais agi sans réfléchir et je ne souhaitais pas réfléchir davantage. Elle ne réagit pas comme je m y attendais, mais plutôt comme je l’espérais, je pensait qu elle me repousserait mais elle se rapprocha de moi, cherchant une étreinte plus passionnée. Je m’empressais de répondre à son attente, et l’étreignit plus intensément afin de la couvrir de baisers. Mes mains s’étaient glissées sous sa cape et caressaient ses courbes affolantes. Elle sentait mon désir et se montrait en apparence réceptive à mes caresses… N’écoutant que nos fantasmes, je voulus inverser la situation et l’appuyer contre le mur afin de satisfaire mes envies purement sexuelles, mais elle ne m’en laissa pas le temps. Elle cessa de m'embrasser et recula… Ce que j'avais pris pour des regrets et une hésitation ne l’étaient absolument pas. Elle porta ses mains à sa capuche et la rejeta en arrière. Par un délicat mouvement de la tête elle remit en place sa longue chevelure rousse. Les boucles qui encadraient son visage reflétaient dans des éclats de feu la faible clarté de la pleine lune et d’un lointain lampadaire et mettaient en valeur ses yeux verts de chasseresse... Ces derniers dévoilaient toute la perversité et les idées lubriques de la jeune femme. Elle huma mon odeur et dis :
" Tu n'ais pas comme les autres, tu n'ais pas humain, tu es un loup comme moi... Un digne representant de notre mère lunaire..."
Ses mot raisonerent dans ma tête, je sentis ma tête qui commençé a tourné, me propulsant dans le passé, me rememorant mon passé de lycan ainsi que toute ma ligné... Ensuite trou noir…Je me réveillais dans tous les cas au lever du soleil, le lendemain, dans un grand lit recouvert de drap de satin. Mon Amante était nue j’ai pus la contempler a loisir. Ce n’est qu’en caressant sa peau matte et chaude et me remémorant ce qui s était passé la veille, tout en lui mordillant l'épaule que je pris conscience que j'etait de nouveau moi même...Je me revêtis et lui murmura a l oreille :
Merci, princesse... merci de m'avoir rendu ma personallité*
Bousculant quelqu’un dans la rue, Léo revint a la réalité, tout ceci était du passé, maintenant il devait se prendre en main lui même et devenir quelqu'un de puissant. Il continua alors sa promenade afin de rejoindre le QG des Chiens de Guerre.
Don :Zoomorphe, Instinct du chasseur
Armes : Desert eagle.
Clan : les Chiens de Guerre