NOM, prénom : Panarchis, Javelus
Age : 34 ans
Race : Humain, divinement !
Description physique et vestimentaire :
Javelus est un homme de haute stature, mesurant 1 mètre et 84 centimètres, mais de maigre constitution, ne pesant que 67 kilogrammes ? Sa silhouette est donc très élancée, et s’il ne portait pas toujours ses amples robes blanches, on pourrait le croire rachitique ou souffreteux. Ses deux yeux sont d’un vert d’acacia, et son visage est marquée par les blessures de la vie. Il se s’agit pas de cicatrices, mais de plis, et d’expressions qui ne changeront qu’à la guise céleste.
Il porte très souvent d’amples robes blanches, nécessaires à sa fonction – explicitée plus tard dans l’histoire. Celles-ci rappellent sans doute les robes d’anciens mages que l’on ne rencontre que dans les vieux livres semblables à des grimoires, mais ces robes sont ornées de gravures saintes, rappelant les enluminures de certaines Bibles.
Description morale :
Javelus, en principe, est sociable, séduisant, conciliant, capable de comprendre le point de vue des autres, excepté si cela va à l’encontre de ses principes religieux. Javelus est très sensibles : son émotivité est sans cesse irritée par l’irrespect dont font preuve certaines irréligieux, et ils souhaitent combattre cette hérésie grandissante. Son naturel flegme et élégant lui confère un magnétisme commun à tous les orateurs de sa trempe. Il a un sens de la Justice très lié à celui de la ferveur : le pénitent doit payer son repentir ; il supporte très mal les discriminations qui mettent en doute la parole de Dieu ; il hait les mendiants et la pauvreté : ils sont indignes de Dieu. Il n’est plus en quête du juste choix : ses idées se sont arrêtées aux principes religieux appris durant son enfance, durant toute sa vie. Il a trouvé son équilibre entre le non et le oui, et cet équilibre est la parole de Dieu, et ses idées, et paroles sont de ce fait très peu souvent nuancées.
Histoire : [Ne chercher pas les noms de villes ou de pays sur les cartes :p elles sont inventées !]
A l’aube de la fin des trente glorieuses, dans les non moins glorieuses années soixante-dix, Javelus vit le jour dans l’obscurité la plus totale, car s’il faisait nuit, la commune d’Ichraleïn, petite ville d’Ethranelie, venait à peine de connaître la fin du joug nazi. Chose curieuse, ni les Usa, ni l’URSS ne s’étaient soucié de cette petite contrée reculée à l’extrême nord-est de la Sibérie. Sa mère mourut en couche l’année suivante, et son père, ne pouvant assurer son éducation seul, le remit aux soins des autorités religieuses chrétiennes de la petite communauté d’Ichraleïn. Celles-ci étaient composées de moines, de prêtres et de clercs fanatiques qui avaient fui le régime totalitaire russe, et qui s’étaient installés ici, dans la zone la plus ingrate du monde. Mais le froid, le gel et la glace n’avait eu pour effet que d’accroître encore leur foi en le Créateur.
Ainsi le jeune garçon suivit une rude éducation dans les déserts de glace de la Sibérie arctique, apprenant la religion avec toute l’assiduité d’un pénitent. Il passa avec brio la plupart de tous les sacrements de bases, qui sont le baptême, la confession, la profession de foi. Puis, alors qu’il n’avait que 14 ans, et qu’il s’enivrait de livres saints, son village fut attaqué par une escouade russe, parvenue jusque là. Grâce à l’aide d’un prêtre, il put fuir à dos de cheval, mais transi par le froid, le cheval mourut dans la journée du lendemain.
Par chance, et l’adolescent l’interpréta comme la bienveillance divine, il fut retrouvée et recueilli par une tribu folklorique mongole, qui l’emmenèrent sur leur territoire. La découverte des steppes arides fut un tout autre entraînement, mais peu lui importait de manger du pain rassi et de boire de l’eau croupie … Si sa croissance en fut bouleversée (d’où sa constitution), son entraînement se perfectionna dans l’art de manier son propre corps. Il resta quinze ans dans cette tribu, convaincu que Dieu ne l’avait pas abandonné. Il avait pu, en repartant avec quelques uns de ses nouveaux amis sur les lieux du massacre, retrouver la ville de l’enfance, et y prendre un dernier souvenir : une bible. Ce fut, et c’est toujours, son livre de chevet dès lors.
Après ces quinze années, il devint un expert dans l’art de combattre à main nue, et devenu l’égal d’un évêque sur le plan de l’enseignement religieux, il fut contraint de quitter ces terres d’accueil. En effet, une curieuse envie d’apporter la bonne parole s’était investie en lui, et ses pas furent mystérieusement guidés vers la ville de The end.
Don : Combats à main nue
Armes : La foi _ façon de parler lol !
Clan : bah il va tenter d’intégrer l’Inquisition vu son BG ^ ^
EDIT : Pour les bonus malus, je pense :
Agilité + 2
Force : - 3
Resistance (aux blessures) : - 4
Non ?
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