L'entrée et ses miradors (postez ici pour entrer)

Lucius arriva devant le batiment avec une démarche lente mais droite, il ne savait pas pourquoi on l'avait fait venir, mais il ne pouvait refuser une tel offre de L'Imperium ! Le jeune homme éspérait que beaucoup d'argent était a la clef ! Mais mieux ne valait aborder le sujet de l'argent tout de suite...Il fit quelque pas encore et arriva dans l'entrée, deux miradors et un portail entre, soudain, Lucius sentit le stress monter en lui pourquoi était t'il venu la au fond ? Il resta devant le portail sans voix avant de dire d'une voix lente

"Euh, bonjour, y a quelqu'un ?"

Biensur qu'il y avait quelqu'un ! Avec tout ces projecteurs en marches vu l'obscurité ambiante due à la nuit, on ne pouvait mal de remarquer Patrouille avec maître chien et leur torche allumée pour éclairer leur chemin.

*Un aveugle peut être...*

Pensa Martin, le respossable actuel de ce secteur en regardant de bas en haut Lucius.

"Monsieur ? Ce n'est pas un quartier touristique ici... Circulez si vous n'avez rien d'autre à faire que de vous promener..."

Dit alors ce même garde impérial alors que ses congénère sur-armé gardait les environs, attentifs à la moindre chose qui pourrait demander attention de leur part. Bien oui, avec ce métier, il fallait être paranoïaque our le mener au mieux et reflechir a toute les éventualité.

Lucius ce retourna, il était éclairé par un projecteur et entendit sans vraiment distinguer celui qui lui parlait, un homme deja, surement grand et baraqué, quelqu'un appartenent a l'Imperium en gros...Lucius mit les bras en croix pour qu'on ne le prenne pas pour un intru ou un ennemi, il s'éclaircie la gorge et dit doucement

"Bonsoir, eh bien voyez vous, on ma demander de venir ici pour réparer quelque chose..."

Lucius avait prit une pose droite toujours les bras en croix pour signaler qu'il ne voulait aucun mal, il connaissait les soldats, de brave hommes mais qui perdent les balles un peu trop souvent...

"Réparer quelque chose ? Quoi donc ? Et de qui vous tenez cette invitation monsieur ? Vos papiers s'il vous plait..Comprenez mes questions, nous n'avons pas été mis au courrant."

*T'as interêt d'ailleurs...*

Dit alors l'homme en s'abrochant de son interlocuteur. Relachant son arme contre son ventre il était pret à prendre connaissance de l'identité de l'intrus, toujours sous les yeux vigilant des nombreux gardes présents.
Tout ceci alors qu'une sentinelle de passage approcha, Martin leur faisant signe, les deux gardes constituant cette équipe approchèrent afin de faire passer sous le flair de leur chien le dit Alberto. Martin, qui est donc le seul garde qui s'adressait à l'homme poursuivit ses dires :

"Etes vous armé monsieur ?"

"Et bien voyez vous je n'en sais pas beaucoup plus que vous...Un menbres de l'Imperium a découvert mes compétences en mécanique, car il faut dire que je suis assez doué...Euh oui attendez mes papiers..."

Lucius passa un main dans ses poches et en sortit une carte d'identité et la tendit a l'homme devant lui, il était stréssé quand même, on lui demandait de venir et les gardes n'était même pas au courant de sont arriver, la peur de finir ses jours devant ce portaille entra dans l'esprit de Lucius bien qu'elle partit assez rapidement, car mieux ne vallait rien laisser voir, ni sentiments, ni crispassion de visage ect...

"Euh oui, j'ai un colt et le permis d'armes pas loin non plus attendez..."

Il sortit le colt doucement pointant le canon vers le bas, il avait dans la même main le papier signalant le droit du pors de cette armes !

Varingua avait passé quelques jours dans sa famille pour parlé a sa mère de son nouveau grade. Elle avait cette autorisation un peu spéciale du fait de la maladie de sa génétrice et elle savait qu'elle en la reverrais pas un moment. Elle se présenta au porte de la garnison. Endroit qu'elle connaissait vraiment bien, elle avait passé tellement de temps ici depuis prés de 24 années. Elle en avait apprit des choses, mais il lui restait maintenant la plus dur des taches. Commandé l'armée qu'elle avait sous ses ordres et suivre les directives

*me voila a nouveau ici, je sait que c'est ma maison, et que plus rien ne pourra me faire changer d'avis. Je suis ici chez moi, je vais pouvoir réintégrer ma chambre d'officier et voir ce que j'aurais a faire dès le début. *

Elle prenait ses fonctions ce jour la, et ne savait pas encore trop a quoi s'attendre, mais elle savait que le bastion était au courant, on lui avait surement déja remis des rapports et des affaires a traité.

*il va valloir que je mette de l'ordre dans toute mes affaires pour mener a bien la mission qui m'a été confiée par nos haut dirigeant, je dois me montrer digne de leur confiance*

Elle marcha et s'arreta face a la caméra de sécurité, attendant que les portes s'ouvrent sur son passage pour qu'elle retourne dans ses quartiers

(désolé pour l'attente, je risque pour les jours prochains de poster un jour sur deux.)



La caméra de sécurité fit un zoom en direction du visage de la capitaine, laissant alors, depuis la caserne, aux gardes chargé de la surveillance caméras d'identifier leur supérieur. Mais ce n'est pas la peine d'attendre que ces derniers ovrent les portes, car ce n'est pas leur rôle, ce dernier étant uniquement de signaler alertes en tout genre.

Ce sont plutôt les gardes à l'entrée qui se devaient de donner le feu vert aux personnel extérieur d'ouvrir les portes. le responssable de l'escouade charger de garder un oeil sur la porte fit un signe en direction de la caméra, avertissant donc tout ce beau monde que l'autorisation est donnée à l'officier, normal.

La lourde porte s'ouvrit lentement en coulissant sur le côté, laissant alors le passage libre pour Varingua alors que les garde lui fit un salut militaire comme il se doit.

Varingau répondit au salut des soldats présent. Elle n'aimait pas trop qu'on la salue en premier, étant habituée a le faire depuis toujours. Elle se porte au devant d'autres militaires qui la saluèrent. Elle se demandait soudain où elle devait aller pour recevoir ses nouveaux ordres. Elle avait toujours été habituée a autres choses mais la c'était tout nouveau.

*bon alors réfléchissons un peu....il n'y a pas de sous officiers encore ? pourtant il est l'heure qu'ils soient la...enfin a moins qu'ils soient tous en missions ou en permission.*

Elle atendit un petit moment avant de savoir dans quel coin aller

Le colonel arriva devant les portes de fer de l'institution militaire, et après avoir rendu son salut au planton, se dirigea vers ce dernier afin de prendre quelques renseignements bien utile sur l'arrivée de la jeune capitaine de la garde.

Il avait participé à son ascencion à ce titre de chef de la garde en votant pour elle parmis une liste proposé par les principaux généraux. Pas parcequ'il la connaissait mais plutôt parcequ'elle possédait des états de services assez impressionnant malgré son âge pour marquer l'esprit d'un vieux routard comme lui. Il voulait désormais voir par lui même de quel bois était formé la demoiselle.

La garde lui désigna une femme fort bien faite. Le Colonel kassad se dirigea vers la donzelle.
" Capitaine?? je me permet de vous souhaiter la bienvenue. Je suis le Colonel Kassad. "

La jeune femme se tourna vers l'homme qui se tenait devant elle. Elle le regarda rapidement pour voir un peu à qui elle avait à faire puis lui rendit son salut comme lle l'avait toujours fait .

"Repos Colonel . Je crois vous avoir déja aperçus dans la forteresse a plusieurs reprise....Je suis le Capitain Kirin. Comme vous etes la vous allez pouvoir me montrer mon bureau, sauf si bien sur il a changé et me dire si vous avez des rapports a me faire, autant commencer de suite pour ne pas avoir de retard "

*c'est vraiment la chose que je déteste le plus, du retard dans ce que je dois faire, je deviens vite de mauvaises humeurs, heureusement que je sais me tenir dans ces cas la ...ça m'a souvent servit *

Elle attendit sa réponse pour pouvoir enfin prendre en main la vie de la caserne même si elle suivrait les anciennes méthode mais peu etre un peu plus durement pour que son predesseur

Le colonel observa la jeune femme en se demandant si elle avait complètement perdue les pédales ou si son nouveau grade lui montait à la tête...
Il émit un petit sourire narquois, avant de retenir une petite toux sèche. Il avait du mal à se retenir de rire, mais décidéa que la jeune femme devait être perturbée par l'ampleur des nouvelles tâches qui l'attendaient. Il se recomposa donc un visage d'un calme olympien avant de lui répondre.

"Bonjour capitaine, je ne vous ferais pas l'insulte de vous rappeller la hiérarchie des grades dans notre institution et je vais considérer que votre demande est due au fait que vous prenez vos marques dans un nouveau commandement particulièrement compliqué !!
Je vous rappellerais juste, pour information, que le grade de colonel se situe au dessus de celui de commandant...lui même ayant préséance sur celui de capitaine. Je subodore également que vous vous rappellez que votre titre de capitaine de la garde impériale vous est dévolu par un vote de l'assemblée des plus haut gradés de cette armée... dont je fais partis !!
Je veux bien avoir voté pour votre intronisation au vu de vos états de service, et ça me génerait énormément d'entacher une si solide réputation par un blâme ...."

Le colonel reprit à la fois son souffle et son calme. Une bestiale jovialité le poussait à continuer à trainer sa subordonée plus bas que terrre, mais il retint cet instinct animal et retrouva son humanité.

"Je veux bien, maintenant, et si vous le souhaitez toujours, vous accompagner vers vos bureaux, afin que nous étudions tout deux les urgences à traiter au niveau des dossier s en cours. J'aimerais également que nous établissions une stratégie de comabt face à cette menace désagréable et inoportune qui nous e,combre depuis quelques temps. Ces petits anarchistes qui gangrènent les banlieux de notre cité son des cas isolé qu'il va nous falloir éradiquer pour redorer le blason de notre unité... "

Le colonel glissa sans autre forme de procès son bras sous le coude de la jeune femme et l'entraîna à sa suite dans le dédale des couloirs du bastion. Il n'aimait pas attendre indéfiniment qu'une décision soit prise et espérait bien qu'ils puissent trouver une solution à ce problème.