The End
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

The End


 
AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Nana Halliwell

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Nana

Nana


Nombre de messages : 10
Age : 35
Date d'inscription : 06/08/2006


Age: 22
Race: Mutant
Don:

Nana Halliwell Empty
MessageSujet: Nana Halliwell   Nana Halliwell EmptyDim 6 Aoû - 22:28

Nom : Halliwell

Prénom : Nana

Age : 22 ans.

Race : mutant.

Description physique et vestimentaire :

Nana est une jeune femme plutôt grande (approchant le mètre soixante quinze) et légère (environ soixante kilogrammes) mais possédant un physique athlétique. Ses formes sont plutôt généreuses, comparativement au reste de son corps. Elle a de longs cheveux roses coiffés en dégradé ; plusieurs petites mèches viennent lui cacher partiellement son œil gauche. Sa peau est particulièrement blanche voire laiteuse, ceci étant dû au fait qu'elle a longtemps été enfermée dans une pièce sombre et que, par conséquent, elle n'a jamais été exposée au soleil. Ses yeux sont d'un rose foncé tirant vers le rouge, et sont encerclés d'un léger trait noir. Sa rétine tend à se rétrécir comme celles des félins lorsque la demoiselle ressent une vive colère voire une rage importante. Néanmoins, cela n'est qu'un signe sans importance, n'ayant aucun effet particulier sur sa force physique ou mentale. Enfin, sa principale différence réside dans le fait qu'elle possède une paire de cornes (ressemblant à des oreilles de chat) sur le haut du crâne.
Nana aime porter des vêtements assez près du corps pour mettre en valeur ses jolies formes, étant donné que c'est la seule chose dont elle peut être fière. Elle ne ressent pas le besoin de porter des vêtements adaptés au combat puisqu'elle est apte à se défendre dans n'importe quelle tenue.

Description mentale :

Originellement, Nana est quelqu'un de très violent, de très impulsif et surtout de très sanguinaire. La vue du sang ne la dérange absolument pas, au contraire, elle trouve cela presque exaltant. Néanmoins, elle a appris au fil du temps à ressembler à une humaine, tout au moins sur le plan mental. Elle peut donc être très aimable, émotive et tolérante (l'inverse serait un comble pour quelqu'un de sa race, traqué comme une bête…). Nana est consciente que ce double jeu lui porte préjudice et c'est pour cette même raison qu'elle a, au fur et à mesure, développé une certaine schizophrénie. Nana n'est pas très éloquente, elle a toujours eu une préférence pour l'observation. Au premier abord, on peut aisément s'imaginer que c'est une personne austère, vindicative et provocatrice. Au prix d'un effort considérable, elle a réussi à surmonter son caractère inné pour devenir une mutante plus humaine qu'un propre humain. Le son de sa voix est assez étrange : légèrement plus rauque que la voix d'une femme mais bizarrement plus froid. Enfin, il est à noter que Nana aime arborer un sourire mutin, pour une raison qu'elle ignore. Peut-être simplement pour ressentir une légère supériorité face aux hommes.

Histoire :

The end, le 13 novembre.

"J'ai toujours été fascinée par les humains. Je l'ai moi-même été, je crois mais c'est une période que j'ai volontairement occultée. Tout ce qui est sombre et mélancolique m'attirent et pourtant, je suis d'un naturel optimiste, émotif et je dirais même que je suis aimable voire sociable alors que la solitude est comme mon monde, mon refuge. Je suis tout ce qu'il y a de plus contradictoire. Je peux aimer quelqu'un jusqu'à la déraison et l'instant d'après, le détester comme s'il était mon pire ennemi. Ce qui m'attriste le plus, c'est que cette versatilité est le propre de l'Homme, et je ne souhaite absolument pas leur ressembler. Ils sont stupides, vulnérables, cruels, pathétiques et même quelques fois atrocement indignes de leur race. Je n'ai que trop d'exemples en tête et, comme le disait Hobbes : "l'homme est un loup pour l'homme". Il avait tellement raison que j'ai presque envie de lui retirer le titre souillant d'être humain. Il est davantage un être érudit qui a perçu une part de la vérité qu'un vulgaire être appartenant au commun des mortels, cette masse informe et ignare…

… Que j'aime et que j'admire pourtant tellement. Je ne sais si c'est de la jalousie ou de la nostalgie, je ne sais si le genre humain m'exaspère réellement ou me donne inéluctablement envie (de leur ressembler ?) mais j'ai fini par cesser de me poser la question et par jouer un double jeu. J'ignore si cette fausse schizophrénie finira par me rendre vraiment folle mais auquel cas, qui aurait la capacité de me ramener à la raison ? Je me détruirais petit à petit, comme un ultime recours pour sauver l'humanité, cette humanité que je considère comme ma meilleure ennemie
".

La jeune femme reposa son stylo et jeta rageusement le carnet sur lequel elle venait de retranscrire une partie de ses sentiments envers le genre humain. Cela faisait plusieurs jours qu'elle n'était pas sortie de chez elle. Non pas parce qu'elle était malade ou fatiguée mais uniquement parce qu'elle n'en voyait même plus l'utilité. Ce qu'elle observait dans la rue était tout le contraire de ce qu'elle avait naïvement imaginé. Les hommes n'étaient bons qu'à se faire du mal, qu'à former des groupes pour exclure ceux qu'ils ne supportaient pas, le tout en ayant une excuse plus ou moins valable, qu'à détruire au fur et à mesure cette nature si précieuse. Nana leur en voulait, elle les haïssait pour cette raison et aurait voulu leur faire payer mais cela aurait été un manque d'intelligence, une absence de supériorité. Alors, elle avait décidé d'écrire jusqu'à en être dégoûtée, d'écrire ce qu'elle pensait des hommes. Seulement, ce jour-là, elle avait rédigé tellement de choses vraies qu'elle n'avait pas eu suffisamment de force mentale pour continuer. Elle éprouvait donc des sentiments, elle aussi. Cela lui donnait la nausée.

"Oui, j'ai sans doute été humaine moi aussi. Lorsque j'étais une enfant, personne ne me regardait comme une simple erreur de la nature, personne ne me jugeait et je crois pouvoir dire que j'étais comme eux. En somme, j'étais normale, je ne les répugnais pas, je ne leur faisais pas peur. Ce bandeau cachait ma différence et je ne leur mentais que pour me protéger. Ils n'ont pas acquis la notion de tolérance et malgré des dizaines de guerres, des milliers de meurtres, des millions d'erreurs."

Nana s'arrêta encore, elle savait que ce qu'elle faisait s'apparentait à de la torture. Mais cela n'était que la conséquence logique de son enfance, de ce qu'il lui arrivait depuis sa naissance, ou plutôt sa renaissance (à l'âge de huit ans).

Nana s'était réveillée un jour, dans une chambre isolée et immaculée, blanche et aveuglante de toute part. Ses membres la faisaient souffrir le martyre et elle pouvait à peine bouger la tête. Ce n'est que lorsqu'elle aperçut cet homme et qu'elle essaya de se redresser, quitte à se faire mal, qu'elle comprit qu'elle était attachée à une table de fer, froide et intrigante. L'homme se mit à rire et lui dit d'une voix insupportable :

_ Pauvre idiote, ce que tu fais ne sert à rien.
Son rire redoubla et il s'approcha de la petite fille, qui détourna la tête pour ne pas avoir à affronter cet ignoble être humain, bien trop heureux de pouvoir profiter de la situation. A ce moment-là, Nana approchait de sa huitième année d'existence et pourtant, c'était un peu comme si elle venait de naître. L'homme, qui s'avérait être son père, ou plutôt son créateur, lui détacha les mains, puis les pieds et la regarda droit dans les yeux, tout en lui disant :

_ Ne t'avise pas de faire le moindre mouvement brusque ou je te promets que ta cervelle sera éparpillée aux quatre coins de la pièce avant que tu n'aies pris le temps de prononcer ton premier mot.

Nana le regarda de haut en bas, sans doute pour juger ce qu'elle était ou non capable de lui faire, puis essaya de paraître sereine. Elle prit conscience qu'elle était entièrement nue et elle replia ses jambes afin de cacher son corps. Elle essaya de prononcer quelques mots pour répondre à l'homme mais apparemment, elle en était incapable.

Depuis ce jour, Nana a une mémoire comme tous les êtres humains mais contrairement à eux, elle dispose de deux cornes ressemblant à des oreilles de chat. Ce qui lui a valu de subir un nombre d'expériences assez conséquent, de devoir affronter les insultes, les coups, l'exclusion, la solitude de la part des humains dès l'âge de quinze ans. Avant cette période, elle ne fréquentait que des enfants de son âge et quelques professeurs qui n'avaient jamais eu l'occasion de la voir telle qu'elle était réellement, étant donné qu'elle revêtait toujours un bandeau ou bien des nœuds de tissus qui lui permettaient de dissimuler ses cornes. Jusqu'au jour où l'un des garçons de sa classe qui la détestait depuis longtemps prit la décision de lui arracher son bandeau, étant persuadé qu'elle cachait quelque chose. Dès cet instant, tous ses amis la rejetèrent et refusèrent de lui adresser la parole. Seule une fille de son âge, portant le prénom de Lucy, s'intéressa à elle. Mais bientôt, elle fut rouée de coups par ses "camarades" de classe, qui lui interdirent de parler à Nana.

"Et si la seule personne qui m'aimait en ce monde était mon propre reflet ? Je suis devenue si naïve, si pure alors que je pourrais être un monstre sanguinaire à cause d'Eux. J'ai justement envie de leur prouver que je vaux bien mieux que ce qu'ils s'imaginent. Il est impossible de me rendre méchante alors que je souhaite le contraire. Je n'agirais pas selon votre désir. J'ai envie de vous prouver à tous que je suis certainement bien plus humaine que vous !"

Nana reposa son carnet une dernière fois. Elle venait de clore le premier épisode de sa nouvelle vie, le combat pouvait désormais commencer.

Depuis qu'elle a quinze ans, Nana vit seule dans un appartement isolé. Elle n'a aucun ami et ne semble pas en chercher. Elle préfère observer les humains et éviter ceux qui la traquent, bien qu'elle ne manque jamais une occasion de se jouer d'eux, usant de sa légère rapidité.


Dons : combat à mains nues _ anti-psychique.

Arme(s) : mitaines renforcées en fer au niveau des dernières phalanges.

Clan : la fratrie mutante.
Revenir en haut Aller en bas
Admin
Admin



Nombre de messages : 244
Date d'inscription : 02/08/2006


Age: Immemorable!
Race: Admin
Don: Invisible, invincible, immortel, ubiquité

Nana Halliwell Empty
MessageSujet: Re: Nana Halliwell   Nana Halliwell EmptyDim 6 Aoû - 22:41

Validé. (ca sent le Elfen lied tout ca, non? :p)
Revenir en haut Aller en bas
https://theend.actifforum.com
 
Nana Halliwell
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The End :: Hors - Jeu :: Fiches de Personnages-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser