Entrée

Swann atterissa devant la cathédrale, il avanca vers le parvis les bras en croix tenant entre ses mains la vie, il du pousser de son épaule les lourdes portes de la cathédrale avant de pouvoir rentrer dans le sancture.

L'enfant s'était endormi sage serein entre ses bras.

Se trouvant maintenant devant l'allé centrale il mit genou a terre et sparmedia quelque mot. Puis se releva il vit alors une jeune femme se diriger vers la sortit, il la regarda un instant, car il était en recherche d'aide de l'inquisition pensant trouver un de ses représentant dans ce lieu.

Nombre de messages : 24 Age : 36 Date d'inscription : 06/08/2006

Margot s’arrêta subitement quand elle aperçut Swann, elle n’avait jamais vu de personne comme cela. Enfin, elle ne s’en souvenait pas, les hommes comme lui étaient rares dans la ville. Il devait faire un peu moins de deux mètres, et elle du haut de ses, un mètre cinquante cinq, avait l’air d’un moucheron qu’il pouvait écraser d’une main. Pourtant elle n’avait pas peur, elle était dans la maison de dieu et rien ne pouvait la toucher ou la corrompre. Elle mit ses mains d’un air détacher dans sa poche pour attraper un petit chapelet qu’elle gardait toujours sur elle. Elle commença à le tripoter pour enlever toute touche de stress dans sa voix quand elle lui adresserait la parole. Oui, il fallait bien lui demander ce qu’il faisait là, lui, avec son physique d’athlète. Elle serra les dents, son visage ne semblait dégager que de la froideur et pourtant…elle s’approcha plus près…

Elle le regarda attentivement, il n’avait pas l’air d’être un de ses démons dont elle avait entendu parler, d’ailleurs cela l’étonnerait que quelqu’un d’une race maléfique vienne en ces lieux. Elle se rappela alors la parole de la bible et se mit à chuchoter pour elle quelques phrase, elle connaissait le livre de dieu par cœur, elle l’avait tellement lu et relu, ne s’arrêtant que pour subir le châtiment que lui faisait endurer sa chair. Elle voulus pleurer, mais elle ne devait pas, alors elle garda un air mélancolique pendant que le flux de ses mots perlaient à ses lèvres.

Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés…

Elle se rapprocha et s’arrêta juste devant pour qu’il la voie, non, elle n’avait aucune intention de faire quelques choses qui l’expédierait dans l’abîme. Elle tripotait toujours son chapelet avec ardeur, elle ne savait pas quoi dire. Elle perdait ses mots, elle était assez timide et avait souvent peur des gens qu’elle ne connaissait pas. Elle ouvrit une nouvelle fois la bouche et des sons distincts en sortir pour continuer ce qu’elle avait dit en chuchotant. Mais maintenant elle semblait parler pour deux.

Car on vous jugera du jugement dont vous jugez, et l'on vous mesurera avec la mesure dont vous mesurez.

Swann regarda la jeune femme qui s'était rapproché sentant en une essence angélique.

La voyant quelque peu nerveuse. Il comprit alors qu'il n'avait pas essayer de cacher ses ailes ce qui pouvait provoquer le malaise.

Un léger sourir de compation se dessina sur son visage.

" et l'on vous aimera avec tout l'amour dont vous dispensez. "

Il la regarda puis son regard se reporta alors sur le nouveau né.

" Escusez moi ma soeur, mais j'aimerai rencontrer une personne de l'ordre de l'inquisition cet enfant a besoin d'une famille. "

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Ses sourcils se dressèrent en une expression de surprise, en effet, il avait quelques choses de spécial mais de toute façon elle passerait outre pour l’instant. Apparemment il cherchait un abri pour le nouveau-né qui dormait paisiblement entre ses bras. Elle sembla heureuse quelques seconde à la vue de cet enfant mais malheureusement la mélancolie vint plus vite qu’elle ne l’avait demandé. Si elle avait été cet enfant, elle aurait sûrement été sauvée des immondices de son père, elle chassa cette pensée, elle n’avait pas le droit d’être jalouse car c’était la voie des impies et jamais au grand jamais elle ne suivrait la monstruosité dans la géhenne, elle ne le pourrait. Elle n’était pas encore de l’inquisition et dut répondre juste par un geste de la tête de compréhension.

J’en suis désolé mon frère, mais malheureusement je ne fais que vouloir entrer dans l’inquisition, je n’y suis pas encore…

Elle baissa son regard sur le nouveau-né, laissant allée son admiration pour la vie que lui avait donnée le seigneur. Elle laissa retomber le chapelet délicatement dans sa poche, il n’y avait plus de raison de stressé, ni même de se faire pardonner quelques chose. Son sommeil était paisible, peut être qu’en continuant dans cette voie, Margot pourrait dormir comme cette enfant. Cette pensé ne fit qu’augmenter sa détermination, elle était certaine de pouvoir le faire, oui, oublié toute cette souffrance d’impie. Elle était comme toujours habillé de guenilles crasseuses mais elle n’en avait que faire. La richesse matérielle n’est rien, alors que la richesse de l’esprit est celle qui nous fait monter au paradis. Elle reprit sur un ton dénué de tout sentiment, d’une neutralité assez inquiétante, mais elle était comme ça et elle ne pourrait changer en si peu de temps.

…malheureusement

Elle reprit l’expression mélancolique qu’elle esquissait presque toujours. Elle croisa ses bras et regarda dans les yeux l’homme qu’elle avait en face d’elle. Il était incroyablement beau, mais elle ne voulait plus entendre parler d’amour autre que celle de dieu. Son père l’aimait et pourtant il la violait presque chaque jour, le mal et l’amour font bon amant. Elle sourit intérieurement à cette idée impensable mais…

…mais j’allait justement m’y rendre…

" Je vous remercie de votre mansuétude. "

Il inclina légèrement la tête.

" Je ne les connais que de nom mais il seront un foyer pour cet enfant. "

Il sentit en elle le désarroi.

" Ne vous décourager pas d'entrée dans l'ordre car si vous écoutez votre foi et votre coeur, vous saurez alors que rien n'est impossible. "

Le bébé fit quelques gestes dans son sommeil.

Swann le regarda de nouveau et réajusta tendrement un pli du linceul pour le recouvrir de nouveau.

" Je vous suis, mademoiselle. "

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Elle inclina ainsi la tête légèrement, puis regarda une nouvelle fois le bébé, mais cette fois c tendrement. Il était si innocent, si innocent de ce qui l’attendrait, de ce qui l’attaquerait pour le corrompre de toute la foi qu’on lui aurait inculquée. Elle espéra sincèrement que cet enfant eut put bénéficier d’une éducation religieuse sans faille qui lui répondrait à tout ce qu’il aurait besoin dans sa vie futur. Elle essaya difficilement d’esquisser un sourire de compassion comme si, c’était une chose des plus laborieux à faire, ainsi, son sourire ressembla plus à une moue désastreuse qu’à une illumination de son faciès. Elle serra les dents, elle était mortifier, elle n’arrivait même pas à faire une des choses les plus simples au monde. Mais de toute façon qu’importe si elle suivait le chemin de la Lumière.

Je pense que je suis aujourd’hui prête à suivre notre croisade contre la bête…et d’ailleurs c’est pour cela que j’allais me diriger vers le monastère lorsque je vous ais vus.

Sa voix était frêle, fragile, ébranler par les souvenirs qui la hantaient chaque nuit. Elle ne dormait tout au plus que trois ou quatre heures par nuit depuis quelques années, se levant tot le matin, couverte de sueur à chaque fois. Son visage en était marquer par des cernes trop élancés, trop voyante, son état pouvait être dévoiler à chaque personne qu’elle croisait juste en la regardant. Elle ne mangeait pas beaucoup, privilégiant les choses qui remplissent très vite l’estomac avant de retourner à la prière devant une croix, la ou elle avait vécut pendant plusieurs mois. Dans un hôtel lui semblait-elle, mais elle n’était pas sur… pourquoi n’arrivait-elle pas à se souvenir de détail simple ? Elle n’en savait vraiment rien…

Ainsi je vais vous guider vous et l’enfant vers le chemin du Monastère…J’espère que nous serons reçut, La bête rode partout…

Elle baissa les yeux et murmura quelques mots pour que seul Swann puisse discerner leurs significations. Elle ne savait pas si c’était de trop ce qu’elle allait dire, mais qu’elle importance, ce n’était qu’une rumeur non fondée…et d’ailleurs ce n’était pas un pêché d’être méfiant.

...et il semblerait que certains membres soit prit de…comment dire…paranoïa…mais comme on dit, il ne faut jamais être trop prudent…
Je m’appelle Margot…

Elle tendit la main à l’encontre de Swann…

Swann écouta margot.

" Appelez moi Swann. Veuillez m'excuser de ne pas vous serrez la main mais je risquerai de réveiller l'enfant et ainsi rompre la paix qui règne en ce lieu. Mais sachez que mes sentiments y sont. "

* La bête ....voila tout le but de mon existence .... *

Il songea alors à toute les actes et les atrocités qui s'était répandu sur la terre depuis la nuit des temps. Le combat qu’avaient livré ses frères .... Beaucoup de sang avait coulé pou maintenir l'équilibre.

" Je suis sur que vous avez vos raison d'être méfiante, mais je ne doute pas que les fils de Dieu reconnaissent en leurs coeurs les êtres bon quand ils en voient. De ce que j'en sais ils nous offriront bon accueil. "

* Pourquoi en serait il autrement ? Ce sont des servants de Dieu !!! *

" Sachez que la voie du doute a eu raison de beaucoup d'homme bon et la crainte de l'autre n'engendre que le malheur. Allons voir et vous pourrez alors vous faire une opinion de ces membres. "

Et a voix plus basse.

" Ne condamne pas ton prochain si tu ne veux être condamné ... "

Il suivit ensuite Margot

"Qui pénètre en ce temple est un pêcheur anxieux. Lamartine."

Gravissant les marches de l'antique perron de la Cathédrâle, le visage de Javelus devenait grâve. Il pressentait un malheur, et quel plus beau lieu de recueillement que ce temple érigé au nom du Seigneur ?

Parcourant la trachée du bâtiment, il arriva devant l'autel, sans avoir remarqué quelques officiants qui furent intrigués par sa tenue qui, quoique sanctive, semblait très excentrique.

"L'hérésie la plus noire devant Dieu s'efface. Victor Hugo."

Il se présenta devant un diâcre, puis lui intima.

"Allons, mon garçon. C'est de ton sang que la messe doit vivre. N'as tu aucun respect des principes qui t'ont donné ta place !"

Le jeune diâcre, tout d'abord dédaigneux, se fit plus révérancieux quand il entraperçyt les enluminures sur les pans des robes blanches de Javelus. S'inclinant, il disparut dans une alcôve sombre de la cathédrâle.

Javelus se plaça derrière l'autel, face au choeur, et contempla le demi-cercle lumineux.

"Il n'aurait qu'à souffler, et tout serait de l'ombre."

Entrée 1034soulfinalbm7

A sa mémoire apparut cette image fracassante, et se souvenant de cette armée de lépreux que ses précepteurs religieux avaient guéri à l'aide de la Main de Dieu, il baissa la tête, pénitent, et s'agenouilla.

"Miserere mei Deus secundum magnam misericordiam tuam et secundum multitudinern miserationum tuarum dele iniquitatem meam"

Et la pitié sera accordé à celui qui a pour seul bouclier la force de sa foi.

"Amplius lava me ab iniquitate mea et a peccato meo munda me"

Et dans sa grande clémence, le père de l'existence purifiera ses fidèles, qui seuls seront admis à ses côtés dans la lutte originelle.

"Quoniam iniquitatem meam ego cognosco et peccatum meum contra me est semper"

Le pénitent sait son péché, et implore avec pudeur le pardon de son Dieu.

"Et le pénitent sait où se trouve la lutte."